Face à l’arrogance de ce pouvoir autoritaire au service d’une minorité, c’est bien à une inversion des priorités qu’il faut œuvrer : hausse des salaires, des pensions et des prestations sociales contre hausse de la rémunération du Capital, services publics contre intérêts financiers privés, protection sociale contre assurances privées, contrôle démocratique y compris sur nos lieux de travail contre dérive autoritaire et lois sécuritaires. La rupture s’impose.
Débattons, réunissons-nous, remettons nos revendications et solutions au cœur des discussions dans les entreprises, les administrations et dans l’espace public. Reprenons la main ensemble !