Solidaires Moselle s'associe à l'appel unitaire à manifester à Metz "Pour la fin du racisme systémique, des violences policières, pour la justice sociale et les libertés publiques".
En savoir plusD’un côté c’est la fête aux profits ! De l’autre, c’est l’austérité... La réponse, c’est l’augmentation des salaires, l’indexation des salaires sur les prix, l’indexation des retraites sur les salaires – non nous n’avons pas tourné la page des retraites ! - , la continuité du salaire, des services publics étendus accessibles à toutes et tous, une protection sociale élargie sans restes à charge. LE 13 OCTOBRE, TOUTES ET TOUS MOBILISE.ES !
En savoir plusMetz, 17 juin 2023 Déclaration Marche des Fiertés
En savoir plusLa lutte contre la répression syndicale et du mouvement social ne se divise pas.
En savoir plusRDV 14h place de la Gare. Le 6 juin, en grève à Metz comme partout France, nous allons débarquer en une nouvelle vague dans les rues. Nous allons repousser la réforme !
En savoir plusLA SOLIDARITÉ FACE À LA HAINE L'extrême-droite n'est pas du côté des travailleuses et travailleurs qu'elle s'emploie à vouloir diviser au profit du patronat et des détenteurs du Capital. Les idées xénophobes, racistes, antiféministes, lgbtphobes qu'elle véhicule, ne sont pas les nôtres. Elles sont à l'opposé de nos engagements et des voies de l'émancipation de chacune et chacun. Elles mettent en péril le ciment d'une société réellement démocratique, égalitaire et fraternelle et sororale. Nous faisons le choix de la solidarité contre celui de l'exclusion. Nous faisons le choix du progrès social, démocratique et écologique contre la réaction xénophobe, antiféministe et lgbtphobe. No pasaran.
En savoir plusEnsemble nous montrons notre force par la grève. Ensemble nous montrons notre force dans la rue. Prochains rdv dans la rue en Moselle les 11 et 15 mars 2023.
En savoir plusA partir du 7 mars, ensemble haussons le ton ! On arrête tout !
En savoir plusLe 16 février, on tape les 3 coups ! Nous allons gagner et nous allons faire le nécessaire pour faire plier le gouvernement !
En savoir plusNi amendable ni négociable, retrait du plan MACRON ! Je ne veux pas de la retraite à 64 ans, je ne veux pas de la précarité, des salaires et des pensions tirées vers le bas, je ne veux pas de tout ce fric pour les plus riches ! Je me mobilise ! 7 février, 14h, rdv à l’Arsenal à METZ
En savoir plus31 JANVIER, 14H, PLACE MAZELLE, METZ, MASSIVEMENT EN GRÈVE ET DANS LA RUE ! La retraite à 64 ans, c'est toujours plus de précarité, des salaires et des pensions tirées vers le bas pour toujours plus de fric pour les actionnaires !
En savoir plusDeux sujets très concrets retiennent aujourd’hui l’attention des ménages car ils touchent à leur porte-monnaie : l'assurance chômage connaît une régression sans précédent depuis sa création et les prix de l'énergie explosent.
Le gouvernement poursuit son œuvre de destruction de nos biens communs en sabotant et sabordant les services publics. L’hôpital public n’est pas épargné. L’épidémie a été une aubaine pour le gouvernement qui en a profité pour accentuer sa privatisation. La crise sanitaire creuse les inégalités sociales a constaté l'INSEE pour l’année 2020.
Militant.e.s syndicaux pour l’égalité et la solidarité, nous sommes internationalistes. Notre combat pour l’émancipation dépasse les frontières des États. Pour Solidaires Moselle, une pandémie se combat à l'échelle planétaire, c'est pourquoi les brevets doivent être levés sur les vaccins, demain les traitements.
Contre la spirale de la déprime et le choix permanent de l'austérité, de la précarité et de l'insécurité sociale, nous opposons l'espoir avec la redistribution contre la charité. Les mêmes qui n'ont pas su anticiper la gestion de la crise sanitaire en se prétendant aptes à la gestion publique et en se présentant à ce titre aux responsabilités du gouvernement de notre pays voudraient aujourd'hui amplifier les recettes ultralibérales qui nous mènent depuis des années vers une crise sociale et économique que la dernière pandémie a accélérée et amplifée. S’ils n’ont pas l’air de redouter leur prochain entretien d'évaluation, c'est à nous de leur démontrer que nous entendons bien quant à nous réinventer notre société, quelles que soient leurs prétentions. Ils ne sont décidément pas de notre monde, mais tout comme nous entendons bien résister au Covid-19, nous ne nous laisserons pas envahir par leur logique répressive et régressive et nous lui opposerons une société solidaire, démocratique et respectueuse de notre écosystème tout en garantissant la primauté des droits sociaux et la gestion des biens communs au service de l'intérêt général.
Le 16 juin nous serons aux côtés des personnels de santé. Parce qu'au-delà de nos applaudissements, parce que mieux qu'une médaille et un défilé du 14 juillet, ensemble nous voulons un système de santé qui nous prémunisse des impérities des apprentis sorciers actionnaires. Nous voulons respirer (même masqué.e.s un temps), nous voulons enfin souffler ! Non, salarié.e.s du public ou du privé, nous refusons de payer les ravages sociaux avec moins de salaire, moins de reconnaissance, moins de droits et moins de liberté !!!
Les exigences du mouvement syndical et social en ce 1er Mai restent d'autant plus d'une urgence absolue que le jour d'après, les intérêts financiers dominants et celles et ceux qui les servent manifestent déjà la folle envie de nous rejouer le jour d'avant... en pire !
Ce gouvernement oublie cyniquement que celles et ceux qui sont resté.e.s à leur domicile, tout comme les agent.e.s dit en présentiel, n’ont pas eu le choix. Il n’empêche qu’après les arrêts de rigueur pour celles et ceux confiné.e.s à leur domicile, une sanction supplémentaire leur est imposée avec la suppression de congés et RTT. Le message est clair, inciter les agent.e.s à reprendre le chemin de leur travail, alors même que les conditions sanitaires sur le lieu de ce travail ne sont pas garanties et que vous ne donnez pas l’assurance que tous les moyens seront mis en place pour les protéger. L’incitation est perverse, car elle sous-entend que plus les agents resteront chez eux, plus ils perdront de jours de congés, sauf à accepter de n’avoir aucune assurance d’avoir les moyens de protection nécessaires sur leur lieu de travail. Ensuite, que le sens civique dont ils ont fait preuve depuis le 17 mars va s’évanouir du jour au lendemain et qu’ils vont se précipiter pour demander à prendre des congés dès leur reprise d’activités. Après la stratégie du manque, la gestion par la suspicion.
Le confinement est une mesure de salut public. Ce n'est pas une période de détente, encore moins de vacances. La source principale de déplacements dans ce pays et donc de risques de contagions demeure liée aux activités et tâches maintenues. Aujourd'hui seules celles nécessaires à l'organisation de la lutte contre la pandémie doivent persister.
Résultats et analyse de l'enquête Solidaires Finances Publiques sur le télétravail pendant le COVID-19
Alors que les préconisations du comité scientifique tendent à imposer le port du masque dans un certain nombre de situations, la question de la prise en charge de ce matériel de protection comme de tous les matériels « barrière » (gels hydroalcooliques, gants, visières ou lunettes de protection,...) se pose. Pour Solidaires Finances Publiques, cette prise en charge devrait relever de la responsabilité de l’État sans la renvoyer à une responsabilité et à une prise en charge individuelles.
Solidaires Finances Publiques avait demandé un report de l’ensemble des échéances fiscales et estime qu’un nouvel assouplissement devant garantir le risque sanitaire est nécessaire. Les agent.es des finances publiques sont particulièrement attaché.es à leurs missions de service public. Mais dans cette période historique, la priorité absolue demeure la protection de la vie et la santé, ce que les déclarations du Ministre mettent clairement en danger.
La crise sociale et sanitaire que nous traversons a mis en exergue le mépris des dirigeants pour les étudiant.es et les salarié.es du secteur. Cela fait des années que le secteur social et médico-social, public comme privé, doit faire face à une régression sociale, des politiques d’austérités et plus de contrôle social. Une situation qui percute les personnes que nous accompagnons.
Mardi 14 juillet à Paris aux côtés des personnels hospitaliers, du médico social et du social : les invisibles prennent la Bastille ! Départ de Metz rdv à 8h00 ; contact/réservation: 0649355840
Un pourboire et un hochet en guise de reconnaissance ! Des conditions d'attribution dignes d'un contrat d'assurance ! Une médaille et un défilé le 14 Juillet ! Quelle mesquinerie après les promesses !
Quand l'exigence devrait être la santé publique, la réponse de notre gouvernement est la "reprise économique" et rien ne doit la menacer même un tant soit peu...